18 janvier 2002, 0h00
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Les professionnels du cinéma suisse réunis aux Journées de Soleure se préoccupent de l’avenir de leur métier. Si les uns bénissent la récente mue des écoles de cinéma en Hautes écoles spécialisées (HES), d’autres s’en inquiètent.
Pour tourner un film, il faut pas mal d’argent et en moyen- ne une quarantaine de personnes qualifiées. A Genève, Lausanne, Zurich, Bâle et Lucerne, cinq écoles inculquent les métiers du cinéma. Hormis celle de Genève qui revendique une formation artistique, ces écoles ...
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