13 mai 2005, 0h00
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Le Golfe persique connaît une situation des plus fastes. De l’avis des spécialistes, il s’agit même d’une période de prospérité sans précédent. Bahreïn, le Koweït, le Qatar, Oman, l’Arabie Saoudite et les Emirats arabes unis (EAU), regroupés dans le Conseil de coopération du Golfe (CCG), doivent une fière chandelle aux pétrodollars qui coulent à flots.
Un seul chiffre permet de s’en convaincre: le Koweït, membre de l’Opep, est quasiment en passe de doubler son excédent budgétaire durant l’exe...
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