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La flambée des grands crus bordelais peut se retourner contre la région

La politique tarifaire des grands châteaux risque de détourner le consommateur du Bordelais.

12 juillet 2001, 0h00
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Acheteur de primeur, il faudra être riche, très riche, pour acquérir le millésime 2000 des grands crus bordelais. Cela fait cinq ans que l’on rabâche la même chose, les primeurs (ces vins qu’on achète à l’avance, un an après leur récolte et que l’on reçoit presque trois ans après) sont trop chers. Mais cette année, leur cote dépasse l’entendement. Les premiers crus du Médoc atteignent 2000 francs français la bouteille, le Cheval-Blanc ou l’Ausone, premiers grands crus de Saint-Emilion vont même ...
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