16 août 2000, 0h00
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Les constructeurs automobiles n’étaient hier pas les seuls à faire grise mine. La hausse du cours du Brent au-dessus de la barre des 32 dollars par baril, soit son plafond historique depuis près de 10 ans, a jeté un certain froid sur le marché obligataire suisse. Ce dernier a en effet connu un manque d’intérêt très marqué de la part des investisseurs, tant en termes de performance que de volumes.
Même la publication des statistiques américaines sur la hausse de la production industrielle n’a pas...
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