13 octobre 2003, 0h00
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«Le bilan est extrêmement positif, expose d’emblée Régis Joly, secrétaire de la Fondation pour l’innovation technologique (FIT). D’une part, notre démarche est unique en Suisse car personne d’autre ne s’attaque à ce marché compte tenu des risques encourus. Et de l’autre, nous n’avons essuyé que deux échecs sur trente-quatre projets soutenus.» Pour la FIT, c’est bien la preuve que l’organisme remplit pleinement sa fonction consistant à «apporter un soutien au développement de projets à contenu te...
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