21 décembre 2014, 21h59
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«Aujourd’hui, n’importe quel Etat peut s’offrir un système de surveillance des télécommunications généralisé pour moins d’un million de dollars». Cette phrase, prononcée par le dirigeant d’une entreprise de sécurité informatique à Genève, n’a rien d’anodin. Elle prend un sens particulier dans le cas de l’attaque – et de la capitulation – de Sony la semaine dernière.Il serait faux de croire que seuls les Etats-Unis ou certains Etats développés peuvent se permettre une surveillance ou le piratage ...
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