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La fin programmée du grand consensus

Hautes écoles. L’afflux d’étudiants étrangers est perçu comme un facteur de coûts.

29 octobre 2010, 0h00
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La Suisse a longtemps tiré orgueil de la forte proportion d'étudiants étrangers dans ses hautes écoles. La perception est en train de changer: aujourd'hui, l'afflux de ces étudiants est plus que jamais perçu comme un facteur de coûts. Une réalité rappelée hier encore par le Conseil des écoles polytechniques fédérales (CEPF), qui tenait conférence de presse à Berne. L'EPFZ et l'EPFL, qui enregistrent depuis 2000 une progression des effectifs estudiantins de 4,6% en moyenne par an, demandent à la ...
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