11 juin 2003, 0h00
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La fin de Veillon ne surprend malheureusement personne, du moins pas ceux qui observent depuis plusieurs années l’évolution du marché de la vente par correspondance. Veillon n’avait plus, depuis longtemps déjà, la taille critique qui lui permettait d’être compétitif face aux géants européens du secteur. L’arrivée des catalogues allemands, mais également français, sur ses terres a précipité sa chute.
Ce qui étonne davantage, c’est que ce constat d’échec commercial, ou plutôt cette impasse, ait é...
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