18 décembre 2008, 0h00
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Au printemps 2008, le président russe Vladimir Poutine était aux anges: les prix du gaz et du pétrole atteignaient des sommets, les revenus de l’exportation faisaient déborder les caisses du Kremlin; délitée avec la fin du communisme en 1991, l’armée autrefois puissante se reconstruisait; et Dmitri Medvedev, successeur trié sur le volet, était glissé au pouvoir, alors que Poutine optait pour une vie plus simple au poste de premier ministre.
Les incohérences de Bush ont brouillé les cartes
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