04 novembre 2003, 0h00
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Difficile d’imaginer contraste plus prononcé entre la prudence du communiqué de la Fed et l’ébouriffant taux de croissance du PIB américain au troisième trimestre 2003. Sous pression, les marchés obligataires ont finalement assez bien résisté au spectaculaire redressement de l’activité aux Etats-Unis.
Le taux de croissance de 7,2% du PIB américain a suscité la réaction euphorique de nombreux commentateurs... mais pas des marchés financiers qui ont réservé un accueil plus circonspect à la flambé...
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