05 mars 2008, 0h00
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Le pessimisme a régné sur plusieurs secteurs à travers toute l’Europe. La baisse de tous les marchés, à l’exception du norvégien, en était la conséquence logique. Les financières avaient à composer avec l’appel lancé par le président de la Fed, Ben Bernanke, aux banques pour qu’elles déprécient encore plus de titres de dette adossés aux hypothèques. Et le secteur des semi-conducteurs a énormément souffert de la correction à la baisse des prévisions de marge brute d’Intel. Les valeurs fortement ...
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