07 avril 2008, 0h00
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Une simple table. Un homme seul dans le fond d’une petite salle à l’ombre de Baselworld. «Il faut absolument aller voir ce qu’il fait!» Toute la famille de l’horlogerie haut de gamme et innovante était là, se penchant sur un prototype en pleine gestation, comme une ascendance bienveillante sur le landau d’un nouveau-né. «Je m’appelle Denis Giguet, j’ai 39 ans, je suis ingénieur.» Un homme à suivre, assurément. Son entrée dans le petit monde des «baby-boomers» de l’horlogerie de l’extrême, techni...
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