15 janvier 2004, 0h00
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A75 ans, Nicolas Hayek a le triomphe modeste. Celui qui se nomme lui-même «une légende vivante» ne cache pas qu’à ses yeux «la modestie est une hypocrisie pour les gens qui ont réussi». Or Nicolas Hayek fait assurément partie de ceux-là pour incarner le grand rédempteur de l’horlogerie helvétique. Le pari n’était pourtant pas gagné d’avance. A la fin des années septante, l’horlogerie suisse était en effet en plein marasme pour avoir complètement raté le virage du quartz. Non que les spécialistes...
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