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La douceur de l’hiver plus forte que les coups de Poutine et Chavez

Les prix du brut ont poursuivi leur baisse hier à 55,64 dollars au terme d’une journée volatile. Un mouvement qui pourrait durer jusqu’en mars.

10 janvier 2007, 0h00
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Anne Gaudard Le temps doux aura eu raison des tensions géopolitiques que ce soit aux frontières russes ou au Venezuela et des intentions de l’OPEP. Le baril a franchi à la baisse la barre des 54 dollars en cours de séance hier pour s’établir finalement à 55,64 dollars (-45 cents) à New York au terme d’une journée volatile, alors qu’à Londres il affichait 55,18 dollars. Une séance qui a vu tenir le seuil des 54,40 dollars cité le matin par Credit Suisse dans son analyse technique qui qualifiai...
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