02 novembre 2011, 0h00
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Dans la controverse récurrente sur les ratios plus élevés de fonds propres imposés aux banques, le célèbre économiste monétaire Steve Hanke, professeur à l'Université Johns Hopkins, lance un nouveau pavé dans la mare: il caractérise d'«erreur de jugement»; la volonté des banques centrales de prescrire de tels seuils. Les accords de Bâle III, dont les recommandations doivent être transposées dans le droit national d'ici à 2013 et appliquées par les banques jusqu'en 2019, partent de l'idée que dav...
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