19 novembre 2003, 0h00
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La diplomatie est souvent l’art de ne rien dire d’important, sauf lorsque les événements obligent les Etats à se concerter pour sortir d’impasses dangereuses. C’est précisément à quoi l’on assiste aujourd’hui, avec la visite de Colin Powell à Bruxelles et le voyage princier de George Bush à Londres.
Colin Powell sait trop bien que la feuille de route est enlisée et que son allié Ariel Sharon s’enfonce dans l’isolement. L’Europe a raison de le rappeler avec force mais elle doit tout aussi clai...
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