22 novembre 2005, 0h00
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Pour la première fois depuis près de deux cents ans, les Etats-Unis doivent pratiquer leur diplomatie face à un Etat dont la croissance et l’action sur le monde indiquent qu’il leur échappe de plus en plus. Un certain réalisme est en train de poindre, comme dans la remarque du conseiller politique de la Maison-Blanche Dan Bartlett, qui expliquait qu’il n’y avait «aucun succès concret qu’on pouvait encadrer», mais que le sommet était «une occasion d’avancer». Yan Xuetong, qui enseigne la politiqu...
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