04 mars 2012, 20h48
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Les incertitudes liées à la reprise de la participation de Rabobank n’ont été que l’un des facteurs qui ont entravé l’afflux d’argent frais de la clientèle de la banque Sarasin au dernier semestre 2011. Les deux autres motifs invoqués par ses dirigeants sont de nature réglementaire. En particulier l’orientation décidée en 2010 déjà du private banking sur les avoirs déclarés ou «fiscalement conformes». Ce rôle précurseur a son prix selon Joachim H. Strähle, le CEO depuis 2006 d’un groupe bâlois q...
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