17 février 2010, 0h00
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«Le problème de la Grèce, c’est que le bureau des statistiques a été traditionnellement économe avec la vérité.» Les difficultés que traverse actuellement le pays sont donc de nature politique et non économique, explique Nick Gartside, responsable global du fixed income chez Schroders à Londres. Conclusion: la dette grecque offre une «énorme opportunité», deux fois plus rémunératrice que celle de pays comme l’Espagne ou le Portugal sans risque supplémentaire, avance le gérant basé à Londres, qui...
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