26 janvier 2011, 0h00
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Une semaine après le gel, en Suisse puis en Europe, des avoirs de l'ex-président tunisien et de ce qui est considéré comme son entourage en Suisse, on peut s'interroger sur le soudain changement de statut de ces présumés actifs. Légitimes tant que Ben Ali était au pouvoir, ils sont devenus indésirables après la fuite du dictateur. Existe-t-il un ordre juridique pour les périodes de stabilité, et un autre en temps de crises (comme la révolution tunisienne des jasmins)? Comment les entités bancair...
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