15 octobre 2010, 0h00
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Avril 2000. La loi sur le blanchiment d'argent entre en vigueur. Face à un besoin croissant de contrôle et de renseignement, les banques helvétiques se tournent alors vers la start-up anglaise World Check. Dix ans plus tard, la petite société est devenue l'un des principaux acteurs à l'échelon mondial dans l'identification et le contrôle des risques financiers liés la réglementation et aux atteintes à la réputation. C'est donc naturellement en Suisse, plutôt qu'à Londres, que World Check a chois...
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