16 avril 2009, 0h00
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La crise financière du début des années 2000, et en particulier l’Enronite, avait remis au premier plan la qualité de l’information financière et son importance vitale au plan micro, mais également macroéconomique. Elle avait aussi montré qu’il n’y a pas dans le domaine comptable de règles «objectives» ou «autonomes» et que celles-ci ne constituent, au fond, que des conventions.
Paradoxalement, alors que la crise de confiance du début des années 2000 avait déjà plutôt souligné le manque d’effic...
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