03 mars 2000, 0h00
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Etant donné que la plupart des analystes s’attendaient à ce que la Banque centrale européenne ne relève pas ses taux, la décision prise hier ne devait en principe pas créer de grands mouvement sur le marché suisse des obligations. Il est à noter cependant que la chute de l’euro face au dollar et les signes de remontée de l’inflation, en particulier en raison de la croissance en Allemagne et de l’envolée du prix du pétrole, ne rendaient pas du tout certain l’issue de la réunion tenue hier.
Hier, ...
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