31 octobre 2001, 0h00
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La cyclosporine pourrait devenir le pari impossible de Novartis après avoir été sa poule aux œufs d’or. Apparu voilà près de vingt ans, cet immunosuppresseur dérivé d’un champignon a longtemps été considéré comme le standard pour combattre les phénomènes de rejets lors de transplantations d’organes. Depuis, de nombreux produits ont vu le jour ou sont en phase de développement, qui offrent de nouveaux points d’attaque. La cyclosporine risque toutefois d’être dure à déloger. Et si Novartis bénéfic...
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