21 avril 2016, 22h56
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Lors de la reprise de l’officine florentine Panerai par le groupe Richemont en 1997, personne (à part peut-être Johann Rupert) ne prévoyait ce que la marque ultra confidentielle allait devenir près de deux décennies plus tard. Le risque était réel, Panerai avait une histoire très particulière, surtout construite sur sa prédestination à l’usage militaire. Avec un design fort, mais limité à deux modèles, très proches l’un de l’autre. Sans véritable légitimité horlogère en dehors de la recherche de...
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