14 novembre 2001, 0h00
Partager
Marcel Frydman déclare volontiers n’avoir pas eu d’idées préconçues quand il a décidé en 1984, à l’âge de 53 ans, d’acheter une petite parfumerie à Montreuil pour faire plaisir à sa femme. Moins de vingt ans plus tard, le groupe français Marionnaud, qu’il préside et dirige, occupe confortablement le deuxième rang sur le marché européen de la parfumerie et «la place de numéro un du secteur n’est plus une hypothèse à évacuer», comme il aime aujourd’hui à le déclarer. En d’autres termes, Marionnaud...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT