23 novembre 2004, 0h00
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Le jour est gris sur Schaffhouse. Au bord du Rhin, la cité lutte contre les vagues de pluie qui viennent balayer les vitres. Bref, c’est un temps d’arrière automne, un peu pourri, qui porte davantage à la mélancolie qu’à l’enthousiasme. Mais les portes de la manufacture IWC à peine franchies, c’est comme si on se retrouvait au milieu d’une ruche qui bruisse, indifférente à la météo. Au deuxième étage, à la sortie d’un escalier en colimaçon, le bureau du CEO Georges Kern. Là, c’est presque une pl...
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