13 janvier 2012, 0h00
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Quand on demande à Dieter Thomä, qui enseigne depuis plus de dix ans la philosophie à l'Université de Saint-Gall, comment il conçoit son rôle, il répond que son employeur affirme énergiquement n'avoir pas seulement besoin d'économistes, mais aussi de philosophes. Il ajoute que c'est là, à son avis, une des raisons pour lesquelles les étudiants suisses et étrangers viennent nombreux à Saint-Gall. Parce qu'ils entendent réfléchir à l'argent, à la politique, à l'amour, à la globalisation, aux cultu...
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