29 janvier 2009, 0h00
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Il se balade au World Economic Forum (WEF) comme chez lui, Patrick Aebischer. Normal, le président de l’EPFL s’y rend pour la cinquième fois. Ou la sixième… A force d’y venir, il ne compte plus. Car, depuis qu’il a goûté au sommet des «leaders du monde», le Fribourgeois ne s’en lasse pas. «C’est comme une cure de jouvence, parce que c’est le moment de délaisser l’opérationnel pour se poser des questions de fond sur le rôle de l’éducation.» Et cette année, la question qui s’impose, même pour les ...
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