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La crise ivoirienne aura révélé une fragilité longtemps occultée

Après la signature d’un accord de paix, la Côte d’Ivoire doit se préparer à remettre en cause les acquis de Félix Houphouët-Boigny.

Levi Sergio Mutemba
L'Agefi - Journaliste
16 mars 2007, 0h00
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Le président ivoirien Laurent Gbagbo et le chef de la rébellion Guillaume Soro font enfin la paix. Le 4 mars, les deux principaux protagonistes d’une guerre civile déclenchée en septembre 2002 ont en effet signé un accord politique, prévoyant entre autres la formation d’un nouveau gouvernement cinq semaines après l’entrée en vigueur du texte. Les banques ont repris leurs activités dans le Nord Pratiquement toutes les branches d’activités ont été sévèrement affectées par la crise, divisant le ...
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