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La crise immobilière a révélé le vrai maillon faible: les consommateurs

Malgré des bilans sains, les entreprises occidentales investissent peu, alimentant des craintes pour la croissance future. Mais le véritable risque est ailleurs.

31 août 2007, 0h00
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Le cash n’empêche pas la prudence. Les entreprises américaines et européennes semblent privilégier de spectaculaires campagnes de rachats d’actions à des investissements dans le capital physique. Avec de possibles conséquences néfastes sur l’économie réelle. Pourtant, la plupart de ces sociétés ont les poches pleines de cash. Elles ont retenu la leçon de la crise de 2000-2001, née d’excès d’investissement dans les nouvelles technologies. S’en sont suivies des années de maîtrise de l’endettement...
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