22 décembre 2008, 0h00
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Les émeutes qui ont éclaté en Grèce la semaine dernière peuvent avoir plusieurs causes, mais l’une d’elles, rarement mentionnée, est la fracture au sein de la gauche entre le parti socialiste traditionnel de George Papandreou et une faction de plus en plus radicalisée qui refuse tout compromis avec l’Union européenne ou l’économie moderne. À des degrés divers, ce clivage paralyse tous les partis socialistes européens.
Que la gauche traditionnelle s’avère aussi amorphe face à la crise économiq...
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