28 avril 2008, 0h00
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Jan Marejko à Genève
Comme le savent déjà nos lecteurs, les résultats trimestriels d’ABB sont époustouflants. Comment le patron de cette entreprise, Michel Demaré, ne les commenterait-il pas? On devinait un malin plaisir, chez lui, lorsqu’il déclarait, hier, à la NZZ am Sonntag que «la crise financière n’était pratiquement pas perceptible pour ABB». Son explication: les investisseurs, aujourd’hui comme hier, «placent leurs actifs dans les processus les plus efficaces qui font à la fois baisser ...
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