02 novembre 2009, 0h00
Partager
Le sentiment général qui prédomine, c’est que la reprise dépend surtout de taux d’intérêt artificiellement bas et de stimuli gouvernementaux massifs; il va de pair avec le pressentiment que la fin de l’assouplissement quantitatif cèdera la place à l’inflation. L’arrêt de cette méthode mettra les gouvernements (et le financement de leur déficits colossaux) en concurrence directe avec le secteur privé. Ces jours derniers, nous avons vu, de façon identique, les emprunts du trésor américain et ceux...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT