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La crise du private equity signifie un «no return» sur 12.000 entreprises

La majorité des 200 milliards placés en private equity n’offre guère de rendement.

14 juin 2001, 0h00
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L’humour noir de Bruno Raschle, directeur générale d’Adveq, fait mouche quand il illustre le climat qui règne dans le private equity. Pour lui, c’est le B2B, non pas dans le sens de Business-to-Business, mais de «Back-to-Bankers», et B2C, «Back-to-Consultancy». En clair, beaucoup de personnes qui se sont lancées dans le private equity doivent jeter l’éponge et chercher un emploi dans la banque ou le conseil. Sur les 195 milliards de dollars qui viennent d’être investis dans le private equity, pe...
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