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La crise du crédit rebaptisée virus Ebola de la finance

Alors que ce 1er trimestre semble d’ores et déjà perdu pour les marchés actions, l’inquiétude grandit.

04 mars 2008, 0h00
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La fête est finie. L’environnement des marchés des capitaux est désormais officiellement «pourri» pour ce premier trimestre, pouvait-on lire hier à l’heure où les bourses subissaient de plein fouet les affres de la faiblesse du dollar, de la flambée des matières premières (lire en pages 20 et 21) et des réductions d’estimations de bénéfices sur le secteur des assurances suite aux déclarations, ce dimanche, de Warren Buffett. Dans la journée, Goldman Sachs touchait ainsi un plus bas depuis 7 mois...
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