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La crise de la montre-joaillière

Richemont. Le groupe n’est pas le seul à avoir sous-estimé l’impact de la corruption en Chine. L’ajustement était programmé.

20 novembre 2016, 21h35
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L’agitation est un peu retombée autour du groupe Richemont, après la double annonce début novembre du renouvellement de la direction (présidence exécutive collégiale, conseil d’administration restreint et rajeuni) et de la suppression de quelque 200 postes dans les manufactures. Ce recul de quelques semaines permet de mesurer que tout n’a pas été dit. Le premier reproche fait à Richemont est de poursuivre sa restructuration alors que le groupe est encore en situation de bénéfice (quelque 500 mil...
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