26 juillet 2007, 0h00
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Cinq millions de barils par jour. La baisse brutale de la production des pays exportateurs de pétrole en 1973 équivaut à une fois et demie les capacités excédentaires de production dont disposent aujourd’hui les pays de l’OPEP pour réagir à la demande. Dès les premières répliques de cet acte III du scénario «La fin du pétrole bon marché», la référence à l’acte I, au premier choc pétrolier, était incontournable. On a reparlé de chasse au gaspi et de dimanches sans voitures. On a ré-évoqué le re...
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