18 juin 2002, 0h00
Partager
Si le danger de contagion des marchés financiers à l’échelle mondiale par l’éternisation de la crise argentine est quasi inexistant, il n’en demeure pas moins que les investissements sur l’Amérique latine sont marqués par des valses-hésitations depuis plusieurs mois. L’Argentine a bien sûr une lourde part de responsabilité mais elle n’est pas la seule. Le Brésil, qui dans quelques mois élira son nouveau président, et la Colombie, dont l’économie est plus que jamais soumise au terrorisme lié à la...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT