21 mai 2007, 0h00
Partager
La crise qui a abouti à la démission de Paul Wolfowitz de la présidence de la Banque mondiale illustre le fossé qui subsiste entre l’administration américaine et les pays européens, plus de quatre ans après le lancement de la guerre en Irak.
«Le départ de Wolfowitz est peut-être justifié mais son départ a plus à voir avec le ressentiment de bureaucrates concernant son rôle dans le déclenchement de la guerre en Irak et ses initiatives de réformes internes qu’avec son manque de respect pour les r...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT