11 mai 2011, 0h00
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Les travaux du Groupe d'action financière (GAFI) contre le blanchiment d'argent, qui comprend 35 pays dont la Suisse, continuent de soulever les inquiétudes les plus vives. Le projet pourrait obliger la Suisse à étendre l'échange d'informations bancaires au nom de l'entraide en matière de blanchiment. Directeur de l'Association suisse des banquiers (ASB), Claude-Alain Margelisch fait le point.Le projet du GAFI pourrait conduire à la criminalisation des infractions fiscales, qui relèveraient ains...
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