06 août 2007, 0h00
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On parle de «correction» des marchés. Généralement, c’est grave, beaucoup plus grave que le vécu du moment. En 1987, on a parlé de «correction» et c’était un euphémisme recherché pour dédramatiser la situation. Aujourd’hui, après deux semaines pénibles, au point que ce fut certainement les plus mauvais moments vécus depuis mars 2003, on parle de «correction». Pourtant, les prix des actions sont encore loin d’avoir été corrigés. Aucun indice n’a enregistré un recul de 10% qui généralement accompa...
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