04 décembre 2009, 0h00
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La question n’est plus de savoir s’il faut investir dans les marchés émergents, mais à quel degré s’y exposer. L’endettement croissant des pays développés tranche avec les finances saines de la plupart des pays en développement, qui offrent également les meilleures perspectives de croissance. Spécialiste des marchés européens, moyen-orientaux et africains, Nathalie Wallace revient sur les derniers événements qui ont fait plonger les bourses du Golfe. Pour cette spécialiste, qui co-gère un fonds ...
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