12 février 2008, 0h00
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Comme la majorité des financières, les titres des banques cantonales ont été pénalisés par les marchés depuis l’automne. «A tort», estime un analyste zurichois, qui relève leur «très faible, voire inexistante, exposition aux créances immobilières douteuses américaines». En pleine saison des résultats, c’est un point sur lequel Martin Scholl, le CEO de la Banque cantonale de Zurich (BCZ), a précisément insisté vendredi, lors de la présentation des comptes annuels 2007. Le bénéfice net de la BCZ n...
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