28 décembre 2007, 0h00
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Portée par les récentes tentatives de prises de contrôle sur des fleurons de l’industrie suisse (Oerlikon, Saurer, Sulzer ou Implenia), la crainte d’une mainmise sur les entreprises helvétiques refait à nouveau surface. Plus timidement ou sournoisement, à la faveur cette fois-ci de l’entrée de plusieurs fonds souverains étrangers dans le capital de géants mondiaux de la finance. Même si la présence d’actionnaires étrangers stratégiques est ressentie de manière moins émotionnelle dans un secteur ...
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