31 août 2001, 0h00
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En refusant de la suivre sur la question de l’avortement, le Conseil fédéral a infligé à sa benjamine sa première grande défaite politique. Mais il n’est pas sûr que Ruth Metzler perde du crédit dans l’opération, c’est peut-être même le contraire qui est vrai. En refusant de se récuser pour présenter la position du Conseil fédéral, qui s’oppose à celle de son parti, la démocrate-chrétienne donne l’impression d’une femme de convictions, certes, mais moderne. Qui accepte la réalité, l’évolution du...
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