04 décembre 2009, 0h00
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L’investissement socialement responsable (ISR) entre dans une ère nouvelle. La crise lui offre l’occasion de démontrer que les entreprises tenant compte de ces critères résistent mieux aux fluctuations cycliques. Il ne s’agit plus de renoncer à une partie du rendement au nom de la bonne conscience. Encore moins de simplement exclure l’alcool, le tabac, les armes, le travail d’enfants ou le nucléaire d’un portefeuille. Les outils se sont affinés depuis longtemps. Au point qu’«à long terme, l’ISR ...
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