30 avril 2008, 0h00
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«Christoph Blocher incarne si fortement l’UDC que sa non-réélection en décembre signifie, pour ses électeurs, que le parti n’est plus représenté au Conseil fédéral. Malgré l’appartenance d’Eveline Widmer-Schlumpf à ce parti. Et malgré une classe politique qui fait comme si l’ordre avait été rétabli. En réalité, la concordance est passée de quatre à trois partis», affirme Pascal Sciarini.
La personnalisation des choix électoraux est forte à l’UDC
Professeur de sciences politiques à Genève, Pasc...
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