23 novembre 2004, 0h00
Partager
La compagnie aérienne italienne à bas prix Volare pourrait disparaître rapidement si elle ne trouve pas un repreneur, payant le prix d’une concurrence acharnée en Europe mais aussi d’une gestion hasardeuse.
Le conseil d’administration de Volare, qui se réunit lundi en fin de journée, pourrait déclarer la compagnie en état d’insolvabilité et demander à bénéficier du décret-loi baptisé «sauve entreprises» crée pour sauver de la faillite Parmalat en décembre 2003.
Volare (1.440 salariés) a brutal...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT