22 octobre 2003, 0h00
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La Commission européenne, hier, a invité les pays de la zone euro à faire preuve à la fois d’indulgence et de fermeté envers la France, qui bat en brèche leur pacte de stabilité et de croissance. Bruxelles recommande de lui laisser une année supplémentaire, jusqu’à 2005, pour remettre de l’ordre dans ses finances publiques. Mais en contrepartie, suggère-t-il, Paris devrait être mis sous monitorage.
C’est l’éternelle question du verre à moitié vide ou à moitié plein. Partisans de la méthode fo...
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